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Jean Léon Louis Joseph Raphaël Bruzac né le . . . 18.. avant 1937 fils de Léon Bruzac (18. - >1905) et de . . . il épouse avant 1905 à Bergerac ? (24) Nathalie Yvonne Franc de Ferrière 325/487cca née le 17 juillet 1882 à Bergerac (24) 22 novembre 1951à Sainte Foy la Grande (33) fille Dénois Franc de Ferrière (1839 - 1930) 8/12cc et de Emilie Brunet (18.. - >1930)
	¤ Yvonne grandit au château du Valladoux, à Bonneville (24) avec ses trois sœurs et son frère cadet, Georges. Comme lui, elle est très fier de leur nom.
* En 1905, le père de Raphaël, Léon Bruzac, habite 8 rue Bocour-Larmien (?) à Toulouse	¤ Elle épouse Raphaël Bruzac, mais leur union reste sans postérité, ils habitent 16 rue du sergent Sicard à Bergerac, ou une propriété qui vient de la famille Brunet, le Septy (La Burthe par Le Sigoulès)*, au-dessus de Bergerac.
** Il ne faut pas le confondre avec Georges Siben, qui est tué lors de la même guerre d'une balle entre les deux yeux !	¤ Georges Franc de Ferrière*, espoir de la branche aînée de la famille, tombe «au champ d'honneur»*, à Verdun en 1915. C'est un drame que portent lourdement Yvonne et les siens.
1 - 2 - 3 - 4 -	Yvonne et Raphaël au environ de 1905.
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C'est probablement une astuce qui permettait de découvrir la volaille ainsi camouflée,	Ce deuil assombrit pendant des années la vie des trois sœurs. Odette, la quatrième, est pensionnaire d'une maison spécialisée, gravement handicapée et paralysée des suites d'un accident de circulation à Bordeaux avant la guerre. ¤ Le temps a passé, Yvonne habite depuis des années la maison qu'elle s'est aménagée, juste en dessous du château du Valladoux de son enfance, à la limite du plateau. Il est possible qu'elle en ait héritée lors du partage des biens paternels. Elle baptise cette petite maison en pierres du pays crépis de rose, qui surplombe la vallée voisine, la «Baïata - FRANC DE FERRIERE». Elle essaye d'y faire revivre l'ambiance d'autrefois et y reçoit somptueusement ses hôtes de passage. Son petit-neveu Geo, fils de Yann Franc de Ferrière, garde un souvenir émerveillé d'un faisan, servi, un jour, encore couvert de ses plumes !
sous l'apparence d'un volatil vivant, en rôti appétissant. * Acte n° 10.092 passé en l'étude de maître Pierre Eli Paris, notaire à Vélines (24) le 21 septembre 1937.	¤ Elle ne jouit que de maigres revenus et a dû vendre sa propriété à Bergerac et certaines parcelles de terres dont elle a hérité dans la région. Ainsi, elle cède deux pièces de terre en friche, totalisant presque 40 ares qui lui viennent de son père, à Foncouteau et à Peyrat, commune de Montcaret, en 1937* pour 1 000 francs, à son cousin issu de germain, Yann Franc de Ferrière 4/6 (propriétaire depuis quelques années de la propriété de l'Hirondelle dont il a hérité lui-même de son cousin issu de Germain, Pierre Bijet, petit-fils d'Adolphe Franc de Ferrière 16/24c située sur le ban de cette même commune).
	¤ « Tante Yvonne » fréquente assiduement tous ses cousins de la branche cadette Franc de Ferrière : Blanche, l'épouse de Julien Viaud (Pierre Loti), et la famille de son fils Samuel, au Bertranet, ainsi que Yann et les siens, à Pignon.
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Une partie de boules à Pignon avant la Guerre Tante Yvonne avec ses neveux Jean et Geo Franc de Ferrière Pierre et Jacques Pierre-Loti Viaud
		Ils n'habitent pas très loin, de l'autre côté de la Dordogne. Elle passe à Vidasse, dont elle connaît les habitants depuis toujours, ou à Carbonneau chez les beaux-parents de son petit-neveu Jean, ne craignant pas d'accompagner Harold Ray, dans ses travaux à l'étable, pour continuer une conversation. ¤ La fin de la vie d'Yvonne est quand même solitaire. Elle s'est définitivement brouillée avec sa sœur Germaine, et son beau-frère Lejosne, leur interdisant catégoriquement l'accès à sa maison.
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  * Ou novembre 1952,
     au domaine de Vac,
     à Pineuihl (24), d'après
     le carnet d'anniversaires
     tenu par sa sœur
    Germaine.

Elle décède le 22 novembre 1951* à Ste-Foy-la-Grande (33)

¤ A la Baïta, Yvonne conservait de nombreux souvenirs de famille, notamment une vieille malle remplies d'archives familiales dont le contenu a malheureusement été brûlé à sa mort. En effet, son neveu Georges Puisay, bijoutier-horloger en chambre à Poitiers, venu en vélomoteur, ne peut pas rapatrier tous ces papiers. Ni son cousin Yann, ni son beau-frère Lejosne, tous deux pourvus de voitures, ne se montrent intéressés par ces paperasses... Seule la malle qui les contient convient éventuellement à John Lejosne !

¤ Comme son cousin, Pierre Bijet, Yvonne lègue sa maison à Yann, dernier porteur du nom de la lignée... Il renonce à cet héritage, les frais de succession excédant
la valeur du legs. Les héritiers directs sont toujours victimes des dissensions familiales, la Baïta est mise en vente en 1957.
La version du cousin Georges Puisay * est que devant les complications de cet héritage embrouillé, il demande à Yann de régler les problèmes liés à cette succession, mais 40 ans plus tard il se demande encore comment son cousin a terminé l'affaire !
Restaurée, la maison a été rebaptisée et s'appelle aujourd'hui Villa Negra.

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Sources : Georges Puisais
Y. F. de F. (album Franc de Ferrière)
Traditions familiales,
Archives familiales de Georges Puisais
Geo Franc de Ferrière
11/ 2005

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