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b..
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a.
La façade au sud. On m'a prétendu
qu'il y avait sûrement eu une fenêtre, maintenant bouchée,
pour faire pendant à celle de droite. De même, le fils de l'ancien
propriétaire avait souvenir que le haut de la maison , autour de
la fenêtre du grenier, était en colombage. Ces deux affirmations me surprenaient : 1) parce que là où le spécialiste des maisons anciennes voulait voir une fenêtre, il y a à l'intérieur, une grosse poutre transversale à travers la pièce. Mettre une poutre au dessus d'un linteau, c'est rare, car hasardeux et fragilisant. |
2)
le murs apparent du grenier est en pierre, et a encore quelques 40 cm
d'épaisseur, ce qui est énorme pour un mur en colombage
dont l'épaisseur correspond à la section des poutres utilisées. . b. Le crépi enlevé, c'est bien visible, mes déductions étaient les bonnes. Avec des volets, c'est encore plus joli. (voir écran 6) |
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c. Du côté de la cours. |
Pour la remplacer, il a fallut mettre la maison sur cales, avec des étais de chantier. Heureusement qu'une maison en colombage, c'est comme un jeu de construction. Avec avec un peu d'astuce,.et une bonne connaissance du bois, on peut remplacer la pièce malade. d. Voici la nouvelle sablière en place, avec ses jambes de force, pour maintenir le tout, puique l'on n'a pas pu la rassembler avec tenon et mortaise. . Pour avoir du bois plus sain dans les montants et éviter l'enfouissement, le muret de soubassement a été remonté de 7 à 8 cm, de même donc que la poutre remplacée. |
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L'accumulation de la terre avec les années a élevé le niveau de sol de 30 bons centimètres, enterrant la poutre sablière (poutre de soutien horizontal sur laquelle s'appuie toute la maison). L'enduit de ciment qui recouvrait toute la façade, loin d'améliorer la solidité de l'ensemble n'a fait qu'accélérer le procédé de pourrissement. D'une grosse poutre de chêne de 25 cm de section, il ne restait de dur et solide que les 7 cm d'épaisseur du côté cave, qui lui était demeuré à l'air libre.. |
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. e.
Une vue de l'arrière... (côté
ouest) |
. f. La fenêtre de la chambre du bout. La vacherie ! sous le crépi du mur, vers le voisin, le remplissage entre les poutres n'est pas en torchi, mais en briques montées de champs. Il est presque impossible de faire tomber l'enduit sans les faire éclater.
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g.
Ma chambre au moment des travaux. (Fanny, Clara, Constance et Théophile à l'uvre) |
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Les
derniers travaux
(en date) : i |
h A l'intérieur aussi, cela avance : La pompe à main, qui permet de puiser dans la nappe phréatique si proche, a trouvé un solide support en bois d'acacia.Merci à Geo et Emmanuel qui l'ont débité avec une vieille scie à bûches i.
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Et la salle de bain se trouve pourvue d'un superbe carrelage. Cependant le mortier-colle utilisé, particulièrement bien adapté au plancher, est vraiment difficile à mettre en uvre... Mais pour une première, c'est un coup de maître j. Bravo Emmanuel ! |
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k | l | ||||
Zillisheim, vacances de |
Noël 2001. |
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