Ferronneries
de la porte d'entrée,
avec un L et un J.
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La
maison s'adosse à la colline qui borde la rivière.
L'aile arrière qui reliait bâtiment principale et contrefort
a été démolie entre 1945 et 1970 par les Girardon,
qui en sont alors propritaires. C'était probablement un rajout
ultérieur, pour loger les communs.
Le sol du rez-de-chaussée étaient couvert de grandes dalles
de calcaires, réemployées à la fin du XXe siècle
pour dessiner un chemin à travers la pelouse du jardin. Les propriétaires
d'alors les ont remplacés par des carreaux de céramiques
bruns, plus faciles à entretenir. A gauche du couloir central
s'ouvrent des salles d'apparats, avec de grandes boiseries, dont fenêtres
s'ouvrent sur le Doubs.
Un escalier, sur la gauche, permet de monter au premier. Clémentine
qui est revenue chez ses parents pour l'événement, a accouchée,
dans la vaste chambre dans l'angle, donnant sur le jardin et sur le
Doubs, de ses deux fils Raoul et Philibert
Sous les toits, il y a plusieurs chambres mansardées pour la
domesticité.
La maison surplombe un peu la route qui mène à Sous-Roche
dont elle est séparée par une haie vive. La circulation
est donc peu perceptible.
Pour aller à l'usine, que traverse de part en part la route,
il n'y a qu'un pas à faire, en tournant le dos au pont.
Cette maison directoriale
devient celle de Léon Japy 8/12ba
et de Madeleine Jackson 9/13dhac,
à partir de 1888, puis de leur fils Raymond. C'est très
certainement Léon Japy qui commande la nouvelle porte d'entrée,
où s'enlacent un L et un J.
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