V.3.Mm | Pour
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Enfants : | (au
moins un fils) :
..) Molinier (.... - 1 ) |
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Refuge : surnom donné à tous les pays et principautés qui
ont accueilli sur leur sol les protestants français ayant fui leur pays. |
Vue
du port de Bordeaux à la fin du XVIIIe siècle (gravure) | ||
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¤ Les renseignements transmis par la tradition familiale deviennent de plus en plus flous et imprécises sur le devenir de cette famille. Avec le temps et la succession des générations les liens se sont distendus. |
| Un
Louis Molinier de "la Raye", près
de Véline, descendrait, par ses deux parents, de la famille Métivier.
S'agit-il de Jean Molinier et d'Elisabeth Métivier ? * Monsieur Molinier (ce Louis ? ou un autre homonyme ?), un lointain cousin de Jacques Franc de Ferrière 16/24 , épouse Isoline Noë, fille légitimée de Monsieur Vincens, de "la Raye", et de sa servante (Comme quoi les unions ancillaires peuvent trouver d'heureuses issues, l'usage de reconnaître des enfants de l'amour, nés hors mariage, se démocratise). La double mention de "la Raye" plaiderait en faveur d'un lien entre tous ces Molinier. Dans les années 1880, toujours à "la Raye", vit une femme, que Jacques 16/24 considère comme sa lointaine cousine, par Elisabeth Métivier 67/99sa, mariée à un Monsieur Rochefort (ou de Rochefort). |
| Ce qui est amusant, c'est de refermer cette boucle familiale évoquée par Jacques Franc de Ferrière dans les années 1890 : Il se trouve que ce Monsieur Vincens "de la Raye", père comblé d'Isoline, est le frère de Monsieur Vincens "du Payot", prêtre, et de Vincens Parsac "du Chai Neuf" qui épouse Marie Faure Lassablière** (17.. - <1810) du Valladoux 133/197f, "sa parente" . |
* Informations transmises par Jacques Franc de Ferrière 16/24, petit-fils de Pierre Métivier. ** Belle-sur d'Henry Métivier 132/196, arrière-grand-père de Jacques Franc de Ferrière | |
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Il y a beaucoup
de paroisses Saint-Seurin, lieu l'origine de son épouse, en Aquitaine, en particulier aux environs de Clairac. |
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Marcon est aussi le nom d'un domaine faisant encore
partie, au XIXe siècle, des propriétés des descendants de Michel Eyquem de Montaigne, dans l'ancienne juridiction de Montravel. Une famille Marcon est bien implantée dans la région de Castillon où on la trouve citée dès 1599 et peut-être plus tôt. En 1729 un "ministre" (c'est à dire pasteur) du nom de Marcon, habitant, semble-t-il, Lamothe-Moravel où il possède quelques biens, est dénoncé, arrêté et emprisonné, parce qu'il a été trouvé "instruisant et prêchant la mauvaise doctrine (comprenez la foi réformée)". Un certain Antoine Marcon est maire de Castillon entre l'an VII et 1813. (d'après Fernand Guignard, Histoire de Castilon-sur-Dordogne, maison française d'édition, 1912, réimpr. 2005) | |
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Sources : archives familiales (Pignon)
Carnet manuscrit de Jacques F. de F. 'Janvier 1884 ce petit carnet contient des notes sur la famille' Denis Bataille et Gérald Pellet (+) 12/2006 |
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