fiche0068 Henry Metivier et Anne Faure

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Henry (de) Métivier 132/196 né ou baptisé le 5 mars 1722 à Pomport (24) avant décembre 1763 à ... fils de Jean (de) Métivier 264=270/392=398 et de Marthe Dudillot 265=271/393=399 il épouse le 20 décembre 1758* Anne Faure, de Lassablière 133/197 née le . . . à Bonneville (24) entre juin 1773 et janvier 1832 fille de Pierre Faure-Lassablière 266/394 et de Anne Vincens 267/395
	Enfants : (au moins un fils) Enfants : Jean Pierre Métivier (11.04.1761 - 12.07.1804) 66/98, Enfants : il épouse le 23.02.1761 Marie Damade (20.11.1764 - > 1824) 67/99
	* Date du contrat de mariage détenu (en 1830) par Maître Rosier, notaire enregistré. Bien que certaines familles aient essayé de transformer officieusement de tels contrast en actes de mariage, seule une union bénie par un prêtre catholique est alors reconnue comme valable.

**	. ¤ Henry Métivier est né à la Birondie, commune de Pomport. La famille de sa femme est originaire de Bonneville, sur l'autre rive de la Dordogne. Henry Métivier et Anne Faure sont protestants, sinon officiellement, puisque cela est interdit, du moins de cœur. ¤ Henry est capitaine de vaisseau.
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* Les liens relient les Métivier et cette famille Mollinié ou Mollinier sont manifestes et vont se maintenir. En effet en messidor an XII son fils Jean Pierre envoie du vin à un monsieur Molllinié à Guernesey. L'explication est simple, Elisabeth Métivier, la nièce de Henry Métivier, la fille de son frère aîné Jean, a épousé ce monsieur Molinier aîné, de Guernesey...	Quand Henry Métivier est à terre, il loge chez monsieur Mollinié* aîné, négociant, qui demeure aux Chartrons, quartier nord de Bordeaux, sur les bord du fleuve où habitent beaucoup de négociants et un grand nombre de "Nouveaux Convertis" comme lui. De ses voyages aux "échelles du Levant" (Turquie, Liban, Israël et Egypte actuels alors sous domination ottomanne), il a rapporté un "sabre turc" qui est resté dans la famille**.
** Information donnée par Daniel Franc de Ferrière. C'est Yann qui hérite de ce sabre ou couteau turc à la mort de son père. Il doit s'agir d'une des armes blanches à lame damasquinée partagées entres ses petits-enfants après sa mort, mais laquelle ?

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. * Il existe toutes sortes de donations : .. donation partage, donation au moment .. d'un héritage, ou sur succession à venir etc... .. et ce système de "donation entre vif", .. c'est à dit du don gratuit sans contre parti .. ni engagement. **Ce double nom pour un seul domaine, .. doit être du au fait que le contrat rapporte .. le nom des deux métairies voisines comme .. si elles faisaient partie d'un tout.	¤ Anne Faure est probablement née au château du Valladoux, paroisse de Bonneville. Son père est qualifié de "négociant". Son surnom de Lassablière lui permet de se distinguer des nombreux Faure de la région. En 1758 Anne est désignée comme la fille aînée. La jeune femme se fiance avec Henry Métivier. Le 20 décembre 1758, Henry Métivier et Anne Faure se retrouvent devant un notaire bordelais pour signer leur contrat de mariage. La jeune fille et sa mère logent, pour l'occasion, rue de la Tour, dans ce même quartier des Chartrons. Son père, Pierre Faure ne s'est pas déplacé. Il ne réside d'ailleurs pas au Valladoux, mais à Golce, aux environs de Sarlat. Pour suppléer à son absence, il a confié à son épouse Anne Vincens une procuration qu'il a fait légaliser à Sarlat. Par ce contrat, le (futur) jeune ménage reçoit quelques biens. Ainsi la mère d'Henry accorde-t-elle à son fils, en dotation entre vif, un domaine (sic) appelé "à La Birondie" et "à La Callivie" *, situé paroisse de Pomport, composé de deux métairies, prés, bois, vigne, terre labourable et d'une maison de maître.
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Détail d'une étiquette
Sauriez-vous dire laquelle ?

¤ Henry et Anne ont un fils, qui reste peut-être unique, Jean Pierre 66/98.

¤ De la suite de la carrière d'Henry, on ne sait rien.
Reprend-il la mer ?
Meurt-il au cours d'un naufrage ?

Une chose est sûre, en 1763 sa mort est officiellement reconnue.

¤ Le 13 décembre 1763, il est procédé à l'inventaire après décès d'Henry Métivier, en présence de Fonvielle, notaire.
Ce document a pour but de clarifier sa succession.

En juin 1773, "Dame" Anne Faure est toujours veuve. Elle ne s'est pas remariée.
Comme légitime administratrice des biens de son fils Jean Pierre Métivier, âgé de 12 ans, elle signe une reconnaissance de dettes en faveur de sa belle-mère, Marthe Dudillot.

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Sources :
notes manuscrites de Jacques Franc de Ferrière 16/24
Daniel Franc de Ferrière ; Y. F. de F.
archives familiales (correspondances)
01/2005

Geo

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