| V.11.F 
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   Charles Joseph dit Auguste (de) Sarrauton 90/122 né le 2 mars 1781 à Paris (75) fils de Jean Joseph Antoine de Sarrauton (~1741-1793) 180/244 et de Catherine Félicité Raffenau (17..-1805) 181/245 épouse le 3 novembre 1807 à Chouday (36) Alexandrine de Montureux 91/123 née le 13 mai 1787 à Cap-Français (Haïti) fille de François de Montureux (1748-1791) 182/246  | 
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   Alexandrine   
  et Auguste  | 
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   Photos 
   Antoine Seyrig  | 
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Enfants : Enfant1) Alinska de Sarrauton (8.02.1809-4.01.1894) 45/61a Enfant1) elle épouse le 07.09.1828 François Hilaire Brutus Gouzy Enfant1) dit Gouzy ou Gouzynou (1793-1884) 44/60 Enfant2) Juliette Alexandrine (24.01.1811->1860) 45/61b Enfant1) (marraine de J. Paul Gouzy, 22/30) Enfant3) Marie Louise Charlotte (31.01.1814-11.02.1814) 45/61c Enfant4) Augusta Alinska Hermine* (21.03.1815->1860) 45/61d, Enfant1) elle épouse en 1832 Emile Brassine Enfant5) Amélie* Antoinette (21.03.1815->1896) 45/61e Enfant1) installée à Oran en 1896 Enfant6) Louise Joséphine Estelle** (23.04.1818 ->1860) 45/61f, Enfant1) elle épouse le 17 septembre1844*** à Rouen (52), Enfant1) Henri François Ferdinand Bonnin (Mozerole) Enfant1) (1818..->1860)  | 
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   Autoportrait d'Amélie de Sarrauton, qui, comme cela a été indiqué dans les mémoires de notre ancêtre, a été exposé au musée de Rouen  | 
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         voir aussi écran 
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| an *) 
        Hermine 
        et Amélie           
         sont surs jumelles ** mère de Henri * et Joseph Bonnin de Sarrauton.  | 
   
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    *** 
     le 
  mariage civil  f.ant. a eu lieu deux jours avant, f.ant. le 15, à Mantes-la-jolie. Signature d'Auguste, en 1805.  | 
  
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  ![]() Ce petit médaillon d'Auguste enfant provient, d'une riche source, de documents familiaux mise à notre disposition par Nicole Morère-Lanfranchi *, arrière-arrière-petite-fille d'Estelle 45/61f.  | 
  . ¤ Charles Joseph dit Auguste de Sarrauton est né à Paris en 1781, quelques années avant la Révolution, dans un milieu aisé. Il est confié pendant sa tendre enfance à une nourrice. Son père, au service du prince de Condé, n'est que rarement à la maison et Auguste n'a aucun souvenir de lui. De plus, M. de Sarrauton suit son maître en émigration dès les premiers jours de la Révolution, abandonnant à Paris femme et enfants. Auguste, de fait, ignore même son existence. En effet sa mère, Félicité Raffeneau, refait sa vie avec un directeur général des équipages militaires, Joseph Guillaume Lamanière. Ce beau-père Lamanière élève les enfants de Félicité Raffeneau comme s'ils étaient les siens. Auguste, en toute bonne foi, est persuadé de s'appeler Auguste Lamanière. La Terreur qui commence, rend le séjour dans la capitale périlleux. En 1793, sa mère et son beau-père s'installent, avec les plus jeunes et la famille de leur tante Rose 183/247, à Margency au nord de Paris. Auguste, accompagné de son frère cadet, entre en pension à l'Isle-Adam. Quand les Oratoriens qui tiennent le collège sont arrêtés en 1795, les deux garçons rejoignent leur mère à Metz.  | 
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| Auguste 
  s'engage alors dans l'armée sous le nom de Lamanière. Attaché 
  à 14  ans au 1er régiment d'infanterie légère, 
  il accompagne son père adoptif (qu'il croit être son véritable 
  père) lors d'une tournée dans le Palatinat, le long des bords 
  du Rhin, jusqu'à Coblence*. C'est un tout jeune homme plein d'assurance qui rentre en 1796, le sabre battant le pavé et fier d'une fine moustache naissante sur la lèvre. Sa mère tombe sous le charme et le comble de cadeaux : chevaux, habits, argent... Son beau-père y met le holà en l'envoyant en pension pour 1an½ sous la direction de M. Savoye, directeur des mines et des forges de Sarrebrück. .  | 
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    . ** 
    Son 
    arrière-arrière-arrière- ** 
     François Lelorgne d'Ideville  | 
       
          C'est ainsi qu'Auguste découvre 
          le monde de l'industrie métallurgique, apprend l'allemand, un 
          peu de musique...  | 
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   ** 
     A moins que ce ne soit son ** 
     Cette 
    cure de Chouday   | 
   
   Malgré son jeune âge, Cendrine est 
    la seule qui garde la tête sur les épaules. Frêle adolescente, 
    elle essaye d'assumer le rôle de maîtresse de maison à 
    la place de sa mère et de sa tante complètement démissionnaires 
    face aux événements. C'est elle qui dirige les rares domestiques, 
    veille aux provisions et aux repas, fait la cuisine souvent, prend soin de 
    la basse-cour, va vendre les grains, volailles et bestiaux que rapportent 
    les fermages, bref, fait tourner la maison... L'infatigable jeune fille finit 
    par faire succomber son cousin Auguste à ses charmes. Elle est, dit-on, 
    aussi jolie que sa mère et sa tante célèbres à 
    Paris pour leur beauté. Ils s'échangent leurs promesses, repoussant 
    leur mariage jusqu'à des jours meilleurs.  | 
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    ¤ 
     Cendrine 
    met au monde leur première fille le 8 février 1809. Ils la prénomment 
    Alinska, c'est à dire Alexandrine en polonais. C'est à Monsieur 
    d'Ideville qui a passé plusieurs années à la cour de 
    Russie du temps de l'Empereur Napoléon Ier qu'elle doit ce prénom 
    slave..  | 
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   Portrait 
    du gendre Brassine, 
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         Une épidémie de rougeole 
          frappe ses filles pendant l'été 1820. Au retour de sa 
          dernière tournée, Auguste est à son tour atteint 
          par la contagion. Il manque de mourir, 
          et se relève après deux mois de souffrance, presque complètement 
          sourd. Ce handicap est très dur pour le grand amateur de musique 
          qu'il était.  | 
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         Deux semaines plus tard, la santé 
          d'Alexandrine se dégrade. En quelques  
 Tableau  répertorié 
          dans la base du ministère de le Culture et découvert par 
          Nicole Morère-Lafranchi.  | 
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         Eglise 
          de Bernot (Aisne). 
      Nativité par Amélie de Sarrauton*  | 
   
         Voir 
          aussi..Les 
          cousins du château de Chouday :           
  .  | 
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   Sources : Y. F. de F. Louise Siben-Gouzy 
            [in E. Siben : 'Notes et souvenirs'   | 
  
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   Comment 
      se fier 
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  ![]() Geo  | 
   
   ... 
     nous mettons à votre disposition deux pdf : Sur un format A4 :  imprimez 
    le 1e 
    sur un papier d'un grammage suffisant  Si votre imprimante le permet, inverser l'ordre de sortie, si non inversez-les manuellement. Retournez le paquet de feuilles ainsi traitées, et imprimez le 2e pour obtenir une impression « RECTO/VERSO »  | 
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